Pour compléter ma précédente note sur l’évolution des interfaces BPM, je vous copie ci-dessous un lien vers le site du Journal du Net qui justement aborde le sujet aujourd’hui.
Je cite :
Terme avant tout marketing, le Web 2.0 désigne l’ensemble des technologies, pour la plupart préexistantes à l’apparition de la notion, permettant à une page Web de tendre vers la performance fonctionnelle de l’interface riche d’une application client/serveur traditionnelle.
Au programme des environnements de développement qualifiés de Web 2.0 : les langages Ajax (pour Asynchronous JavaScript And XML) ou encore des frameworks – tels que Ruby On Rails ou Atlas de Microsoft.
Ces technologies, qui reposent notamment sur les standards du Web reconnus par le consortium W3C (RSS, CSS, etc.), ont ainsi pour but de faire supporter par les navigateurs des fonctions jusqu’alors peu présentes dans les applications Web. Exemples types : les requêtes asynchrones, gérées grâce à Ajax, pour générer des flux de mises à jour en temps réel sur un point précis de l’écran (utile pour la création de tableaux de bord), ou encore les tableaux triables.